Valérie De Bue pointait récemment le problème potentiel du chevauchement des lignes de bus et de train. Sa question écrite adressée à la ministre de la Mobilité a reçu une réponse.
Fin de l’année dernière, Valérie De Bue s’était adressée à Jacqueline Galant, alors ministre de la Mobilité et en charge de la SNCB au sein du gouvernement fédéral. La Sénatrice MR s’inquiétait des possibles chevauchements entre les lignes de trains et de bus, demandant notamment si des résultats d’études étaient disponibles et quelles mesures pourraient être prises pour effectuer des économies en la matière (davantage de détails par ici).
Quelques semaines plus tard, la Sénatrice MR a donc eu sa réponse de la part de la ministre. La voici en intégralité :
« Par le passé, différentes études en la matière ont été réalisées avec De Lijn, la STIB et les TEC ; elles n’ont toutefois débouché sur aucune conclusion convaincante.
2) La plupart des lignes parallèles ont une fonction différente et souvent, elles desservent aussi des endroits différents. Là où le train transporte des voyageurs sur de plus longues distances, les lignes de bus (parallèles) amènent les voyageurs à proximité de leur origine ou de leur destination.
3) Dans le cadre de la plateforme d’intermodalité, ce sujet reviendra sur la table des discussions au cours des réunions qui seront menées avec les sociétés de transport en commun. »